Notre premier blog invité et un grand merci à Ricky et Tom qui sont restés avec nous ici au Petit Cochon plus tôt cette année.
Le hasard a joué un grand rôle dans la visite de Tom et Ricky………Tom a cliqué sur le bouton Easy jet « Inspirez-moi » et a acheté deux billets pour Toulouse à un prix très avantageux. Ils ne savaient pas vraiment ce que Toulouse avait à offrir ou où en France c’était exactement, mais ça avait l’air intéressant. Ricky se souvient alors d’avoir lu un article sur Le Petit Cochon, a vu qu’il était facile d’y accéder depuis l’aéroport de Toulouse et a réservé une visite. Nous avons vraiment apprécié leur visite et Ricky et Tom, vous savez que vous êtes toujours les bienvenus. Voici les réflexions de Ricky sur 24 heures à Valence sur Baïse……..
« Tom et moi avons passé une nuit au Petit Cochon via Toulouse. Louer une voiture et aller à la campagne était un changement agréable par rapport à nos séjours urbains habituels qui se déroulent à un rythme frénétique. Le village de Valence-sur-Baïse est chic à la française et Le Petit Cochon est tout aussi joli au bord du mur de la bastide, avec vue sur la campagne bucolique du Gers. Saskia et Andrew étaient tous les deux là pour nous accueillir à notre arrivée. Après la réception, nous avons gravi le grand escalier en bois jusqu’à la chambre spacieuse que nous devions appeler la nôtre pour la nuit. C’était spacieux et le soleil de l’après-midi a commencé à briller pour marquer la fin d’un long hiver. De petits sacs d’organza de lavande du jardin placés sur les oreillers, une bibliothèque empilée avec des lectures de vacances – ce sont les petits détails qui ont déclenché une détente immédiate.
Nous étions assis dans le jardin à écrire des cartes postales pendant que le soleil se couchait derrière la maison. La vue sur les champs environnants et la petite maison d’été m’ont fait rêver d’écrire un livre, tout comme le personnage de Colin Firth dans « Love Actually », mais sans le domestique et le voyage spontané au Portugal.
Saskia a réservé à l’avance une table pour nous à La Ferme de Flaran, qui était pas loin sur la route. Nous avons utilisé notre terrible français pour commander une multitude de plats incroyables, tous faits avec des ingrédients locaux. Le chef a ensuite quitté la cuisine et s’est approché de chaque table pour demander comment était le repas. Avec un ventre plein de nourriture riche et d’excellents vins, nous avons marché dans la chaude soirée avec les autres invités du LPC qui avaient aussi dîné à La Ferme.
Je ne sais pas si c’est le vin, les oreillers dodu ou le sentiment de tranquillité qui m’ont fait entrer au Petit Cochon, mais j’ai si bien dormi. Je ne me suis levé sur la promesse du pain fait a la maison que dans le cadre du petit-déjeuner élaboré qu’on nous a donné lorsque nous nous sommes finalement levés.
Bien que quelques semaines se soient écoulées, je rêve encore du Petit Cochon. Je suis réconforté par le fait que nous reviendrons dans un proche avenir (j’espère).